Bonjour, j'aime cette revue en ligne, l'ensemble est très convivial, on navigue aisément sur le blog. Je pense que la revue à de beaux jours (poétiques) encore devant elle!
"Épamprer" Voici mon mot.... Une jolie promenade en mots ici. J'avais croisé votre blog, me souviens plus où.... Pris le temps ce matin de feuilleter vos archives. Merci de vos partages. Mari-Claire
Chouette découverte. Bravo pour tout ce travail. Et merci à Olivier Vanderaa pour ce lien. Voici mon mot: futaille (récipient en forme de tonneau, fût ou ensemble de fûts)
Je découvre (vu le nombre de numéros parus, il était temps je pense) et je vous félicite. Quand je vois comment les poètes, dont je fais partie (du moins j'ai la vanité de le penser), peinent à faire publier un texte par-ci par là, de voir des gens quatre pour faire vivre la poésie, je suis admiratif et vous dit merci.
Je passais par là en quête de poésie, j'ai vu de la lumière, j'ai poussé la porte, j'ai lu quelques poèmes et je les ai aimé, j'ai laissé un ou deux commentaires pour dire que je suis passé. Je reviendrai avec plaisir, merci
Marchant sur les traces de Colette Daviles-Estinès je tombe par surprise sur votre revue qui m'offre un bouquet de bons auteurs. Je m'empresse de glisser ce Lichen dans l'herbier de mes "favoris" comptant bien vous suivre avec un plaisir renouvelé à chacune de vos parutions.
Cher Elisée, je découvre Lichen par le blog d'une poète que j'apprécie et qui a fait la promotion de votre revue. C'est une bonne découverte. Mon mot en guise de partage et de contribution est Décile. Par une faute de frappe, j'ai découvert ce mot (pourtant fort employé apparemment), que je me suis empressée d'utiliser dans l'un de mes poèmes pour l'employer dans un tout autre contexte. J'apprécie aussi les textes courts et les mots rares ou rarement usités. Il y en a tant. Quel dommage de s'en priver.
Bonjour Je viens,il y a presque une heure,de découvrir votre revue.J'ai lu plusieurs poèmes publiés dans le dernier numéro.Je lirai tous les autres durant ,la nuit. Votre opinion concernant la longueur d'un poème me convient parfaitement.Le grand Et.A.Poe ne avait la même attitude. Je vous envoie l'un de mes poèmes.J'espère qu'il vous plaira.
SENTIER Anachronique anachorète, sous le soleil au zénith, de clarté, je gèle.
Mes interstices irisés, je les flatte; les chemins prétracés, je les rate. Mémoire, dans un oublieux grain de poussière, je me sème et m'évapore, rayon hésitant au pied de la lumière féminine.
Harnachés de lueurs, chevauché de vers, dans la glace de la nuit, je me lire, vous,charme,attise ce qui en vous luit.
Anachronique anachorète, sous le soleil au zénith, de clarté, je gèle, je ferme et enjambe mes tombes.
Vraiment un beau blog et fort intéressant. A bientôt.
RépondreSupprimerJe voyais passer de-ci de-là des mentions de la revue Lichen. Découverte, explorée, et fort appréciée. Bravo !
RépondreSupprimerIsabelle Alentour
(mon écot : présence)
Lichen, union improbable d'une algue et d'un champignon; inclassable poésie, merci
RépondreSupprimerJe découvre à peine ce blog de poésie et je nage dans le ravissement. Excellente continuité !
RépondreSupprimerBravo pour tout ce travail ! la qualité est au rendez-vous également. Mille mercis. Je vous propose le mot " weed ". A bientôt.
RépondreSupprimerUn beau Blog! oui quel travail
RépondreSupprimerBonjour, j'aime cette revue en ligne, l'ensemble est très convivial, on navigue aisément sur le blog. Je pense que la revue à de beaux jours (poétiques) encore devant elle!
RépondreSupprimerRencontre en écho
RépondreSupprimerBelle découverte ! On souhaite longue vie à cette revue... et que ça pousse!
RépondreSupprimer"Épamprer" Voici mon mot....
RépondreSupprimerUne jolie promenade en mots ici. J'avais croisé votre blog, me souviens plus où.... Pris le temps ce matin de feuilleter vos archives. Merci de vos partages.
Mari-Claire
Chouette découverte. Bravo pour tout ce travail. Et merci à Olivier Vanderaa pour ce lien.
RépondreSupprimerVoici mon mot: futaille (récipient en forme de tonneau, fût ou ensemble de fûts)
Je découvre (vu le nombre de numéros parus, il était temps je pense) et je vous félicite. Quand je vois comment les poètes, dont je fais partie (du moins j'ai la vanité de le penser), peinent à faire publier un texte par-ci par là, de voir des gens quatre pour faire vivre la poésie, je suis admiratif et vous dit merci.
RépondreSupprimerJe passais par là en quête de poésie, j'ai vu de la lumière, j'ai poussé la porte, j'ai lu quelques poèmes et je les ai aimé, j'ai laissé un ou deux commentaires pour dire que je suis passé. Je reviendrai avec plaisir, merci
RépondreSupprimerLichen, une symbiose réussie entre la vie et les mots. Merci!
RépondreSupprimerElisabeth Granjon
Marchant sur les traces de Colette Daviles-Estinès je tombe par surprise sur votre revue qui m'offre un bouquet de bons auteurs. Je m'empresse de glisser ce Lichen dans l'herbier de mes "favoris" comptant bien vous suivre avec un plaisir renouvelé à chacune de vos parutions.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerc'est vraiment beau de voir qu'aujourd'hui encore la poésie irrigue les âmes. Merci pour ce don.
Cher Elisée, je découvre Lichen par le blog d'une poète que j'apprécie et qui a fait la promotion de votre revue. C'est une bonne découverte. Mon mot en guise de partage et de contribution est Décile.
RépondreSupprimerPar une faute de frappe, j'ai découvert ce mot (pourtant fort employé apparemment), que je me suis empressée d'utiliser dans l'un de mes poèmes pour l'employer dans un tout autre contexte.
J'apprécie aussi les textes courts et les mots rares ou rarement usités. Il y en a tant. Quel dommage de s'en priver.
Bonjour
RépondreSupprimerJe viens,il y a presque une heure,de découvrir votre revue.J'ai lu plusieurs poèmes publiés dans le dernier numéro.Je lirai tous les autres durant ,la nuit.
Votre opinion concernant la longueur d'un poème me convient parfaitement.Le grand Et.A.Poe ne avait la même attitude.
Je vous envoie l'un de mes poèmes.J'espère qu'il vous plaira.
SENTIER
Anachronique anachorète,
sous le soleil au zénith,
de clarté,
je gèle.
Mes interstices irisés,
je les flatte;
les chemins prétracés,
je les rate.
Mémoire,
dans un oublieux grain de poussière,
je me sème et m'évapore,
rayon hésitant
au pied de la lumière
féminine.
Harnachés de lueurs,
chevauché de vers,
dans la glace
de la nuit,
je me lire,
vous,charme,attise
ce qui en vous
luit.
Anachronique anachorète,
sous le soleil au zénith,
de clarté,
je gèle,
je ferme
et enjambe
mes tombes.
Merci
J'allume les